Communautarisme.
Aujourdhui, je suis allé dans un restaurant rapide, KFC, nouvellement ouvert et tout proche de chez moi.
Et dès mon arrivée, jai noté quelque chose de bizarre, voir de très bizarre.
Les clients, le personnel aux caisses, aux cuisines, les vigiles, tous étaient black.
Il y avait probablement 60 personnes dans ce restaurant, et nous étions les seuls caucasiens.
Les personnes qui me connaissent, savent que mon propos est loin dêtre raciste, mais juste d'être une remarque.
Jai du mal à comprendre, plutôt à accepter le communautarisme.
KFC n'est pas le seul exemple.
Autre exemple, quand je vais dans le 13ème, vers les frères Tang, on se retrouve en asie, où vietnamiens, japonais, chinois sont en nombre. Au point où même les écriteaux sont en chinois.
Ce qui, pour moi , ne me déplais pas, mais je m'interroge.
Un autre exemple d'actualité? La gay Pride, qui pour moi , n'a pas lieu d'être, dans le sens employé : revendicatif.
Tout comme l'existence du quartier du marais m'exaspére.
Bref , pourquoi créer des concentrations(pour ne pas dire ghetos) de personnes de meme origines, croyances, ou orientation sexuelle.
Pour avoir essayé dimmigrer, je sais ce quêtre loin de ses repères et être déraciné signifie.
Mais la dernière des choses que jaurai fait à L.A, aurait été de minstaller dans un quartier Français.
Lintégration ne signifie pas de perdre son identité, mais préserver son identité ne passe certainement pas par le communautarisme.
Plus je pense aux deux cas que je viens de citer, et plus je pense que cela na que des effets pervers.
Le premier, et le plus redoutable, braquer une partie de la population contre cette communauté par leffet « de masse ».
Le second, il semble quil y ait une discrimination positive.
En effet comment expliquer labsence de personne dune autre origine dans les établissements.
Cela naura que pour effet quexacerber le sentiment de « ne plus être chez nous » dune partie de la population,vu que le peu demploi dans la zone semble être réservée à une catégorie de personne.
Bref, je suis contre lidée de « sarcko » dencourager la discrimination positive, je suis contre lidée même de quota.
Un quota implique de catégoriser les personnes, et pour moi, un individu mérite un emploi par ses compétences et non ses origines ou des ses orientations.
Il en va de même pour les conditions daccès au logement, au crédit,aux études.
Mais malheureusement mon raisonnement est faux dès le début.
En effet pour que cela fonctionne, il faudrait que tout le monde soit réellement égal (euh égaux?) aux yeux de tous !